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Une nana qui se fait chier
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25 juin 2010

Twilight.

Aujourd'hui, j'inaugure une nouvelle catégorie de mon blog, qui s'appelle "j'ai testé...".

Ce qui veut dire, très basiquement, que je vais... Tester des trucs.
Divers et variés. En direct live, et pas sérieusement du tout.

Et j'ai eu l'idée de commencer par un chapitre de Twilight, parce que, honnêtement, bah, c'est une cible facile. Et ces bouquins m'ont tellement fait rire (j'arrête tout de suite les giga fans, je n'ai rien contre ce livre ni contre son auteur ni contre vous, ça me fait juste RIRE, c'est tout) que j'ai pas hésité une seconde sur la première victime de ce vilain blog bête et méchant :)

Donc Twilight, pour ceux qui ne connaissent pas (OUI, je suis certaine que c'est possible), basiquement, c'est ce roman pour ados écrit par Stephenie Meyer, et dont vous avez probablement entendu parler; qui déchaîne les ados boutonneuses MAIS AUSSI leurs mères, leurs grandes soeurs, et même des fois leurs frères, parce que la prédominance féminine du phénomène, ben, ça n'a pas de raison d'empêcher les mecs de kiffer leur race.

Ça parle de vampires. Mais de vampires végétariens qui brillent au soleil, un peu comme mon petit poney, mais en humain. Enfin non, pas en humain....en vampire quoi. Et aussi, de natifs américains loups garous. Et surtout, du triangle amoureux entre une girl next door complètement transparente faisant office de personnage principal, un vampire ado légèrement maniaco-dépressif, et un Indien-loup-garou fraîchement sorti de sa réserve naturelle.

C'est un...bon roman pour ados, disons; ça fait plaisir à lire pour se détendre les neurones et rire un bon coup, mais ça ne mérite clairement pas la surexposition médiatique que l'on constate. (Genre, des livres jeunesse comme ça, y'en a à la pelle, et certainement des aussi bons, ou meilleurs....'fin bon, moi, j'm'en fous hein!)

Et c'est un peu ce boom médiatique ridicule surprenant et l'hystérie de certains fans qui fait que voilà, étant une chieuse, ça me donne envie de taper un peu dessus. (Et aussi parce que je me fais bien chier et que j'ai envie de me marrer un coup).

Donc voilà en quoi ça va consister: le premier chapitre du Tome 1, commenté par moi-même.
Donc au niveau copyright, eh bien je ne fais que reproduire le texte écrit par Stephenie Meyer, c'est donc son œuvre (l'extrait est disponible sur internet ici, en clair: m'emmerdez pas, j'ai rien volé.), et tous les personnages sont à elle aussi et de toute façon, on n'en veut pas.
Pour plus de facilité de lecture, mes commentaires seront, disons, en couleur comme ça, là.

Première rencontre [TADAAAAAAAAAAAM!!!]

Ma mère me conduisit à l’aéroport toutes fenêtres ouvertes. [Si on n'en avait pas absolument rien à foutre des fenêtres, on se dirait bien volontiers "diantre, mère indigne, risquer ainsi la pneumonie pour son enfant, vous n'y pensez pas!"] La température, à Phoenix, frôlait les vingt et un degrés, le ciel était d’un bleu éclatant.[Un anticyclone se dirigeait vers le sud du pays, promettant de belles éclaircies, attention cependant aux bourrasques venant du sud-ouest. Les normales saisonnières sont de...*PAF*] En guise d’adieux, je portais ma chemise préférée, la blanche sans manches, aux boutonnières rehaussées de dentelle.[porter une chemise en guise d'adieu???] J’avais mon coupe-vent pour seul bagage à main. [pauvre chérie qu'a même pas d'iPhone.]

Il existe, dans la péninsule d’Olympic, au nord-ouest de l’État de Washington,[trois petits cochons qui vivaient en paix et en communauté. Un jour, un grand méchant loup... Quoi? Comment ça c'est pas ça?] une bourgade insignifiante appelée Forks [Bonjour les amis, je vis à Fourchettes!] où la couverture nuageuse est quasi constante. [je crois que S. Meyer a dû vouloir devenir présentatrice météo durant son enfance...] Il y pleut plus que partout ailleurs aux États-Unis. [Bordel, on s'en tape du temps!!] C’est cette ville et son climat éternellement lugubre que ma mère avait fui en emportant le nourrisson que j’étais alors. [La fuite sous la pluie, la mère portant son nourrisson dans son bras pour s'échapper d'un climat lugubre... Comme c'est beau. On croirait limite du Chateaubriand. Ou pas.] C’est là que j’avais dû me rendre, un mois tous les étés, jusqu’à mes quatorze ans, âge auquel j’avais enfin osé protester. [Et auquel je m'étais mise à écouter Green Day en me peinturlurant les ongles en noir] Ces trois dernières années, mon père, Charlie, avait accepté de substituer à mes séjours obligatoires chez lui quinze jours de vacances avec moi en Californie.

Et c’était vers Forks que je m’exilais à présent - un acte qui m’horrifiait. Je détestais Forks. [Mais alors POURQUOI, foutrediantre de mongoloïde à trois sous l'unité, POURQUOI par tous les saints vas-tu t'installer dans cette bourgade cauchemardesque? Bella: Eh bien, je pense que je dois nourrir un côté masochiste, mais je dois avouer que c'est avant tout parce que ça arrange bien l'auteur. Sinon, je ne rencontrerais pas Edward et l'histoire n'aurait pas lieu-- JUSTEMENT!!!]
J’adorais Phoenix. J’adorais le soleil et la chaleur suffocante. [J'adorais suer comme une bovine.] J’adorais le dynamisme de la ville immense.
— Rien ne t’y oblige, Bella, me répéta ma mère pour la énième fois avant que je grimpe dans l’avion. [Alors tu vois, bordel!! Rien ne t'y oblige!! ÉCOUTE LA, pour l'amour de la littérature vampirique!]
Ma mère me ressemble, si ce n’est qu’elle a les cheveux courts et le visage ridé à force de rire. [Ma mère me ressemble, mais en fait elle me ressemble pas.] Je scrutai ses grands yeux enfantins, et une bouffée de panique me submergea. ["NNAAAAN OSKOURE MA DARONNE EL A D RIIIIDE :'("] Comment ma mère aimante, imprévisible et écervelée allait-elle se débrouiller sans moi ? [Comment tu crois qu'elle s'est démerdée avant de te mettre au monde, pauvre tache?] Certes, elle avait Phil, désormais. Les factures seraient sans doute payées, le réfrigérateur et le réservoir de la voiture remplis, et elle aurait quelqu’un à qui téléphoner quand elle se perdrait. [Bon, ben au moins on sait de qui sa fille tient sa débilité profonde...] Pourtant...

— J’en ai envie, répondis-je. [Edward: hummmm....sois pas si impatiente, chérie, j'arrive ;)]
J’ai beau n’avoir jamais su mentir, j’avais répété ce boniment avec une telle régularité depuis quelques semaines qu’il eut l’air presque convaincant. [trouvez-moi UNE SEULE ado de nos jours qui emploie encore couramment le mot "boniment".]
— Salue Charlie de ma part.
— Je n’y manquerai pas.
— On se voit bientôt, insista-t-elle. La maison te reste ouverte. Je reviendrai dès que tu auras besoin de moi. [N'oublie pas de marcher sur le trottoir, de regarder quand tu traverses et n'accepte jamais les bonbons que t'offrent les vieux monsieurs dans la rue.]

Son regard trahissait cependant le sacrifice que cette promesse représentait.
— Ne t’inquiète pas. Ça va être génial. Je t’aime, maman.
Elle me serra fort pendant une bonne minute,[je commençai à suffoquer, l'air se vida de mes poumons, je ne vis plus rien et je tombai bientôt, morte. FIN.] je montai dans l’avion, elle s’en alla. [Et merde, raté.]
Entre Phoenix et Seattle, le vol dure quatre heures, auxquelles s’en ajoute une dans un petit coucou jusqu’à Port Angeles, puis une jusqu’à Forks, en auto. [Ensuite, vous bifurquez sur la nationale, et quand vous verrez un panneau "resto rapide chez Mimi à 500m", vous sortez, ensuite vous suivez jusqu'au stop, puis c'est la troisième au rond point.] Autant l’avion ne me gêne pas, autant j’appréhendais la route en compagnie de Charlie.

Charlie s’était montré à la hauteur. [Apparemment, elle prend aussi son père pour un attardé mental.] Il avait paru réellement heureux de ma décision - une première - de venir vivre avec lui à plus ou moins long terme. Il m’avait déjà inscrite au lycée, s’était engagé à me donner un coup de main pour me trouver une voiture.  Mais ça n’allait pas être facile. [Il t'héberge, il t'offre une caisse et toi tu te plains. Bachi-bouzouk que tu es.] Aucun de nous n’est très prolixe, comme on dit, ["comme on dit"?? Ah oui, c'est vrai, vous savez, le célèbre dicton, "Peu prolixe est Charlie, et de même pour sa fille!" suis-je bête.] et je ne suis pas du genre à meubler la conversation. [Pourtant qu'est-ce que tu nous tannes depuis tout à l'heure!]

Je devinais qu’il était plus que perturbé par mon choix - comme ma mère avant moi, je n’avais pas caché la répulsion que m’inspirait Forks. [Elle ne l'a pas déjà dit au moins vingt fois?]
Quand j’atterris à Port Angeles, [C'est comme Los Angeles, mais pour les pauvres?] il pleuvait. [OH NOES!! D:] Je ne pris pas ça pour un mauvais présage, juste la fatalité. [Ou juste de la pluie, c'est possible aussi] J’avais d’ores et déjà fait mon deuil du soleil.[IL EST MOOOOOOOOORT! IL EST MOOOORT LE SOLEEEEEIIILLLLL!] Sans surprise, Charlie m’attendait avec le véhicule de patrouille. Charlie Swan est le Chef de la police, pour les bonnes gens de Forks. ["Les bonnes gens"? Apparemment, les traducteurs français sont nés aux alentours de 1560...] Mon désir d’acheter une voiture en dépit de mes maigres ressources était avant tout motivé par mon refus de me trimballer en ville dans une bagnole équipée de gyrophares bleus et rouges. Rien de tel qu’un flic pour ralentir la circulation. [Et pour empêcher Bella de se prendre son fix d'héro tranquillax]
Charlie m’étreignit maladroitement, d’un seul bras, lorsque, m’approchant de lui, je trébuchai.

— Content de te voir, Bella, [OUH LE MENTEUR-EEEUUUH] dit-il en souriant et en me rattrapant avec l’aisance que donne l’habitude. Tu n’as pas beaucoup changé. Comment va Renée ? [Elle se fait un joueur de baseball raté, elle a des rides, un regard anxiogène et c'est une débile profonde. Et toi, ça va?]
— Maman va bien. Moi aussi, je suis heureuse de te voir, papa.
Devant lui, j’étais priée de ne pas l’appeler Charlie. [Han la la mé paren i son tro ringare!!!!!!! :'(]
Je n’avais que quelques sacs. [j'espère pour toi qu'ils sont remplis de Lexomil, d'ailleurs file m'en un, tu me donnes envie de me pendre.] La plupart des vêtements que je portais en Arizona n’étaient pas assez imperméables pour l’État de Washington. Ma mère et moi nous étions cotisées pour élargir ma garde-robe d’hiver, mais ça n’avait pas été très loin. Le tout entra aisément dans le coffre. ["je ne suis pas une de ces filles superficielles, je me fiche de mon apparence vestimentaire, je suis une REBELLE et même que une fois j'ai fumé en cachette.]

— Je t’ai dégoté une bonne voiture, m’annonça Charlie une fois nos ceintures bouclées. Elle t’ira comme un gant. Pas chère du tout.
— Quel genre ? [une Aston Martin, c'est assez bien pour Madame?]
Son besoin de préciser qu’elle m’irait comme un gant au lieu de s’en tenir à « une bonne voiture » m’avait rendue soupçonneuse. [Là je comprends. Je sais bien qu'elle a besoin d'habits, mais de là à devoir se fringuer avec une bagnole, même si elle lui va comme un gant, c'est quand même tendax.]
— En fait, c’est une camionnette à plateau. Une Chevrolet.
— Où l’as-tu trouvée ?
— Tu te rappelles Billy Black de La Push ?
La Push est la minuscule réserve indienne située sur la côte.
— Non. [ça, c'est fait...]
— Il s’en servait pour aller pêcher, l’été.
Ce qui expliquait pourquoi je ne m’en souvenais pas. Je suis plutôt douée pour gommer de ma mémoire les détails aussi inutiles que douloureux. [Un type du voisinage qui va pêcher dans sa camionnette sans faire chier personne, c'est douloureux?]
— Il est cloué sur un fauteuil roulant, maintenant, [ÇA, ça a dû être douloureux.] continua Charlie, il ne peut donc plus conduire. Il m’en a demandé un prix très raisonnable.
— De quelle année date-t-elle ?
Rien qu’à son expression, je compris qu’il avait escompté couper à cette question.
— Euh, Billy a sacrément bricolé le moteur... Elle n’est pas si vieille que ça, tu sais.
Il ne pensait quand même pas que j’allais renoncer si facilement ? Je ne suis pas cruche à ce point-là. [ouf. Tu nous rassures presque. :D]
— Il l’a achetée en 1984, me semble-t-il, enchaîna-t-il.
— Neuve ?
— Euh, non. Je crois que c’est un modèle du début des années soixante, avoua-t-il, piteux. Ou de la fin des années cinquante. Mais pas plus. [Ah, oui. Quand même. Tentative d'homicide à peine voilée, moi je dis.]
— Char... Papa, je n’y connais rien en mécanique.[Le contraire m'eût étonné.] Je serai incapable de la réparer s’il arrive quoi que ce soit, et je n’ai pas les moyens de payer un garagiste...
— T’inquiète, Bella, cet engin est comme neuf. On n’en fabrique plus des comme ça, aujourd’hui. [.............]
« Cet engin... » Ça promettait !
— C’est quoi, pas chère ? [c'est le prix que ta mère fait payer quand elle fait les trottoirs]
Après tout, c’était la seule chose sur laquelle je ne pouvais me permettre de me montrer difficile.
— Euh, laisse-moi te l’offrir, chérie. Une sorte de cadeau de bienvenue [tu lui aurais offert une bonbonne de cyanure que ç'aurait été plus subtil....].
Charlie me jeta un coup d’oeil plein d’espoir. [Charlie: "faites que les freins lâchent dans une descente, par pitié!"]
Une voiture gratuite. Rien que ça !
— Tu n’es pas obligé, papa. J’avais prévu d’en acheter une. [Avec quel argent, dinde? Tu viens de dire que t'étais fauchée...]
— Fais-moi plaisir. Je veux que tu sois heureuse, ici.
Il se concentrait de nouveau sur la route. Charlie a du mal à exprimer ses émotions. Difficulté dont j’ai hérité. (...)

Le lycée de Forks n’accueillait que trois cent cinquante-sept élèves [Bella a passé sa première journée au bahut à les compter un par un]- cinquante-huit à présent : terrifiant ! [En effet, pour passer de 357 étudiants à 58 étudiants, y'a dû avoir un foutu massacre! :D] À Phoenix, les classes de première comptaient à elles seules plus de sept cents individus. [Et tous parqués dans la même classe, siouplé] Ici, tous les mômes [je m'appelle Bella Sans Foi Ni Loi et je passe d'un coup sans logique aucune d'un registre de langage châtié à un parler populaire. Parce que je le vaux bien.] avaient grandi ensemble au même endroit, comme leurs grands-parents avaient fait leurs premiers pas à la même époque et au même endroit. Je serais la nouvelle, venue de la grande ville, un objet de curiosité, un monstre.[ça la dépasse donc tant que ça qu'on puisse ne rien en avoir à battre de sa gueule?]

Si j’avais eu l’allure d’une fille de Phoenix, j’aurais sans doute pu en tirer avantage. Mais, physiquement, je ne m’étais jamais adaptée. Au lieu d’être bronzée, sportive, blonde, joueuse de volley, et pourquoi pas pompom girl, bref, la panoplie de toute fille vivant dans la Vallée du Soleil [Toi aussi joue avec Bella au nouveau jeu Youpi-Clichés!!], j’avais, en dépit de l’éternel été d’Arizona, une peau d’ivoire, sans même l’excuse d’avoir les yeux bleus ou les cheveux roux. [*Le Monde de Bella* Règle 1: Tu n'as pas le droit d'être pâle comme une merde de laitier, sauf si t'as les yeux bleus ou les cheveux roux. Tu gagnes un bonus si tu as les deux à la fois.] J’ai toujours été mince, dans le genre mou cependant - rien d’une athlète. Je n’étais pas assez coordonnée dans mes mouvements pour pratiquer un sport sans m’humilier -, et je ne parle pas des blessures que je m’infligeais, ainsi qu’à ceux qui se tenaient trop près de moi. [Je suis une petite chose fragile et maladroite, pâle et timide, trop douce pour ce monde de brutes, je-je, suis si fragile-euh, qu'on-me tienne-la main!]

Mes vêtements rangés dans la vieille commode en pin surmontée d’un miroir [modèle TRÖMZBØLD, Catalogue Ikea 2008, également disponible couleur acajou et blanc cassé], j’emportai ma trousse de toilette dans la salle de bains commune afin de me débarrasser de la crasse du voyage [Elle a voyagé en avion de chasse et en tank, en fait.]. Tout en démêlant mes cheveux mouillés, je m’examinai dans la glace. Peut-être était-ce la lumière, mais je me trouvai mauvaise mine, le teint terne.[Je suis un petit oiseau maladif et fragile.] Ma peau pouvait être jolie - elle était très pâle, presque translucide - à condition d’avoir quelques couleurs. Je n’avais pas de couleurs, ici. [Ben moi, je suis Bella et je suis tellement fragile qu'on dirait que chuis en noir et blanc!]

Devant mon reflet blafard,[oui, ça fait bien la troisième fois que tu nous dis que t'es blanche...] je fus contrainte d’admettre que je me mentais. Ce n’était pas qu’une question de physique. Je ne m’intégrerais pas. Si je n’avais pas réussi à me fondre au milieu des trois mille élèves de mon précédent lycée, qu’allait-il en être dans ce bled ?[Ils vont te lyncher sur la place publique tels les sauvageons qu'ils sont.] J’avais du mal à m’entendre avec les gens de mon âge. [Ils sont TELLEMENT immatures! Je suis TELLEMENT au-dessus de tout ça...]Plus exactement, j’avais du mal à m’entendre avec les gens, un point c’est tout.[même remarque?] Même ma mère, la personne au monde dont j’étais la plus proche, n’était jamais en harmonie avec moi, jamais sur la même longueur d’onde. [PERSONNE NE ME COMPREEEEND!!!] Parfois, je me demandais si mes yeux voyaient comme ceux des autres.[Je suis SI différente de la masse putride de ces citoyens ignorants] Mon cerveau souffrait peut-être d’une défaillance.
Mais la cause importait peu, seul comptait l’effet. Dire que demain ne serait qu’un début ! [Et merde....]

Je dormis mal, cette nuit-là, bien que j’eusse pleuré. [Cette phrase m'a TOUJOURS paru surréaliste dans tellement de trucs... Entre le "bien que j'eusse" SUPER naturel et SUPER pas lourd du tout, et le fait qu'apparemment pleurer empêche de dormir mal, j'ai peut-être totalement rien saisi.... Mais pour le coup... ça m'échappe.] Les claquements permanents des gouttes et du vent sur le toit refusaient de s’estomper en simple bruit de fond. Je ramenai le vieux couvre-lit délavé sur ma tête,[Et je me transformai en FANTOMELLA! La justicière masquée avec son couvre-lit sur le crâne!] y ajoutai plus tard l’oreiller.[Et là, ça ressemblait plus à un bonhomme de neige dépressif qu'à autre chose.] Rien n’y fit : je ne m’assoupis pas avant minuit, [OHLALA C'EST TARRRD! Putin, quand je pense aux heures où je me couche, moi...]lorsque la pluie finit par se transformer en un crachin étouffé.

.... Et ainsi de suite pendant des centaines de pages. Alors il en faut, du courage! ;)

Petit PS pour me dédouaner tranquillement: Je ne juge pas les fans du bouquin, ni ceux du film (bien que les films soient quand même un peu ridicules), j'avais juste envie de m'amuser, vu que d'abord, je peux rien dire, je les ai lus aussi. Et puis se défouler sur un personnage aussi con que Bella, ça fait du bien.

Alors oui, ceci était gratuit, con et méchant. Mais j'assume :D Paix et amour aux fans comme aux anti-fans!

Et bientôt, un vrai article, pas un truc facile et méchant (bah ouais, c'est facile de critiquer, j'ai qu'à écrire, moi aussi! Enfin, c'est ce que je fais....).

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Commentaires
N
J'ai adoré les livres, mais ça ne m'empêche pas de savoir que c'est pour ados en mal d'amoûr :p Du coup, plusieurs fou rires pendant la lecture. Surtout avec le "[je commençai à suffoquer, l'air se vida de mes poumons, je ne vis plus rien et je tombai bientôt, morte. FIN.]". Là, tu m'as TUÉE XD
R
Tes commentaires sont plutôt pertinents, huhu.<br /> <br /> J'avais lu les quatre tomes il y a un moment maintenant, et je ne me rappelais pas que Bella était aussi... comment dire... sous-développée :D<br /> <br /> Ca me donnerait presque envie de les relire pour en juger, dis donc !
F
excellent "article" ! merci pour ces fous rires à travers ces sympathiques commentaires !! J'adore ! :D
L
J'avais des préjugés sur ce bouquin, en fait, j'avais raison! Ça cible très précisément la pré-ado mal dans ça peaux (comme la plupart des truc de vampires en fait)<br /> Donc merci pour ça et pour ton humour, je me suis bien amusé! (fais gaffe par contre, tu surcharge un peu parfois ça devient dur a lire)
J
Bravo =D<br /> Grâce à toi j'ai pu lire un bout de Twilight, je n'avais jamais pu aller plus loin que les deux premières lignes mais j'avoue qu'avec tes commentaires on y prendrait presque goût. J'aime beaucoup tes réflexions acerbes mais tellement justes!!! Alors encore une fois merci, j'ai adoré, GG pour l'idée surtout continu à nous nous faire passer d'aussi bon moments de pure détente intellectuelle X3<br /> <br /> ++
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